Iran une émeute dans la ville de Sirjan aurait permis l'evasion d'un executé

Deux prisonniers en Sirjan

Iran emeute populaire suite a une tentative d’execution publique dans la ville de Sirjan.

Annonce que des prisonniers qui devaient être pendus dans la ville de Sirjan (Province de Kerman) ont été enlevés par leurs proches. Deux prisonniers qui allaient être pendus ont été enlevés par un grand nombre de leurs proches au moment de l’exécution. On pense que l’un d’entre eux est toujours en vie et est caché avec les membres de sa famille.


Dans un communiqué publié en persan cette nuit le site:
http://rowzane.com/fa/annonce-archiev/62-edam/428-221209sirjan-edam.html

 

L’Agence Herana – qui est une des représentante du droit des prisonniers annonce que le  matin du 22 décembre deux prisonniers, Esmayil Fathalizade et Mohammad Efandiapoor devaient être pendus en public sous les motifs de  possession d’armes illégale et d’une prétendue attaque de la banque Najafshar et de  menaces proférées contre les gens lors de cette « attaque ». L’ordonnance d’exécution avait été confirmée par la cour suprême de la région.

Dans un mouvement sans précédent, les proches des deux prisonniers se sont mis à faire beaucoup de bruit avant le début de l’exécution ils s’en ensuite  pris aux fonctionnaires qui attendaient le début de l’exécution. Lorsque l’exécution a commencée, la place était remplie de gens en colère qui ont jeté des pierres sur les forces répressives et la police qui a tiré en des coups de feu en l’air et lancé des gaz lacrymogènes.

Au milieu de tout cela, les proches des exécutés ont réussi prendre en charge au moins l’un  deux prisonniers et a organiser son évasion.

Le correspondant de l’agence Fars à Kerman a parlé au téléphone avec Farajolah Kargar, le procureur de Sirjan. Il a expliqué à l’agence  Fars de ce qui s’’était passé et parlé des mesures prochaines qui seraient prises contre les coupables. Il a dit : “Nous préparons actuellement une réunion avec le Conseil de Prévention de Sirjan. Une fois que nous aurons fini, je contacterai votre agence”.

Le Comité International Contre les Exécutions donne des détails sur cette emeute populaire de ce matin (22 décembre) à Sirjan qui a sauvé la vie d’au moins un de nos deux camarades.


http://persian2english.wordpress.com/2009/12/22/prisoners-to-be-hanged-i...

Cette émeute populaire  a éclatée dans la  Province de Kerman elle était dirigée contre l’exécution publique de deux hommes, Esmayil Fathalizade et Mohammad Efandiapoor.

Selon le communiqué, lors de l’arrivée du véhicule où se trouvaient les deux  condamnés suivie de  celle du  du procureur et du chef de la police locaux , la population, venue en nombre (plusieurs centaines de personnes) et où se trouvaient des proches des condamnés, ont attaquées les véhicules officiels. En réponse, des agents du régime ont commencé à cogner sauvagement dans la foule, et les forces de police anti-émeute ont tiré des coups de feux en l’air et des gaz lacrymogènes, ce qui, loin de calmer la population présente, a mené à un affrontement entre la population et les forces de répression.

La population a répondu courageusement aux forces de répression en scandant des slogans anti-gouvernementaux et en lançant des pierres en leur direction. La police a ouvert le feu, d’abord en l’air, puis sur le peuple.

La situation reste confuse car nous n’avons pas encore toutes les précisions sur tout ce qui a découlé de cette colère de la population de Sirjan :

Selon d’autres sources on  pense qu’il y aurait eu des dizaines de blessés et au moins cinq morts. de nombreuses  voitures de police auraient été incendiées par le peuple en colère peu après cette nouvelle et barbare exécution sommaire du régime.

La colère du peuple iranien contre les bourreaux, les assassins et les criminels contre l’humanité qui œuvrent aux service des dictateurs Ahmadinejad et Khamenei n’est pas préte de s’éteindre.

Ce n’est ni les fusils ni les cordes pour nous pendre qui nous ferons taire scandaient les manifestants de Sirjan.

Solidarité avec le peuple Iranien

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Er führt nach orange. Nach Beliebigkeit und extremer ökonomischer Ungleichheit. In die Armut. Und in die Abhängigkeit vom Westen.

 

Warum gibt es im Iran eigentlich keine kommunistische Partei, die den bestehenden sozialistischen Staat übernehmen und ihn von seiner religiösen Verbrämung befreien möchte?